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LES BENNES BALADENT

« NE LAISSONS PAS ÉCRIRE N’IMPORTE QUOI »

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Avancement

« NE LAISSONS PAS ÉCRIRE N’IMPORTE QUOI »

Malaucène
23 septembre 2018 - 13:59
13 commentaires
Communiqué

C’est la réponse au dernier tract distribué…

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Une crèche au Vallon du Groseau pour réconcilier les parties, le Tribunal Administratif de Nîmes a montré qu’il y était favorable dans l’espace public. Un beau geste pour la paix...

DESINFORMATION DE LA MAIRIE DE MALAUCENE. L'association de sauvegarde du patrimoine de Malaucène soutien tout projet de revalorisation du patrimoine et est contre le projet immobilier dans le vallon du Groseau que soutien la Mairie. Ce projet qui s'étale sur 4.5 hectares face à la chapelle du Groseau est un projet de destruction de notre patrimoine naturel, alors pourquoi? Sur les recours au tribunal, le Maire de Malaucène ment puisque sur l'utilité du projet , c'est en cours au tribunal de Nîmes et sur le PLU c'est à la cour d'appel de Marseille! Je demande à la Gazette Locale un droit de réponse. Jean-Alain MAZAS, Président de l'association de défense du patrimoine de Malaucène, SPAM.

Qui est la journaliste Léa Valaxel qui rapporte les affirmations du maire de Malaucène? Ne serait-elle pas membre de la majorité municipale de Malaucène?

A quoi M. Mazas, déjà en campagne, et qui fait feu de tout bois pourrait il bien répondre ? La déclaration de projet à laquelle il fait référence et approuvée début mars 2017 concernait le POS. Celui-ci est devenu caduque lorsque le PLU est devenu exécutoire. Or, le recours de SPAM sur le PLU ayant été jugé et rejeté par le tribunal administratif de Nimes, cela confirme la caducité du POS et donc la caducité de la déclaration de projet qui n’ont plus lieu d’être. Après, si SPAM a formé un appel à Marseille, c’est son problème et c'est justement parce que son recours sur le PLU a été rejeté par le tribunal administratif de Nimes. Ce que nous avons écrit dans notre réponse. Il veut faire savoir aujourd'hui qu'il est en appel, soit, mais pour cela, il eut fallu qu'il fasse savoir qu'il avait perdu à Nimes...

Je n'ai fait que relater textuellement les dires de la municipalité, sans états d'âme pour qui que ce soit !!!!

Madame, j'avais bien évidemment remarqué que vous aviez relaté les dires de la municipalité. Pourquoi ne pas avoir sollicité la position de l'association de défense du patrimoine de Malaucène qui est directement mise en cause? Etes vous bien Myriam Bertrand, conseillère municipale dans l'équipe de D. Bodon, maire de Malaucène?

Madame Martin, ce n'est pas à vous que je demande un droit de réponse, à moins que vous ne soyez la nouvelle responsable de la rédaction de la Gazette Locale? Que vous donniez votre opinion sur les recours c'est le débat public. La démocratie c'est que les points de vue des deux parties soient représentés et présentés au lecteur quand il s'agit d'un média. C'est le travail du journaliste. Apparemment la journaliste qui écrit sous un pseudonyme fait partie de votre équipe municipale, ce qui rend opaque l'exercice de son travail. Alors à quoi le président de l'association de défense du patrimoine peut-il bien répondre? C'est évident chère madame Martin, notre association répond à la déclaration édifiante de Monsieur Bodon et son équipe municipale. Insidieusement, le projet public financé par tous est présenté séparément du programme privé, et seule la superposition que nous avons faîte des deux projet permet de comprendre quel est votre projet global pour le vallon du Groseau. En effet, vous avez raison, l'association SPAM mène une campagne d'information et ce depuis un an et demi, contre ce projet de lotissement sur 4.5 ha face à la chapelle du Groseau. Ce projet privé que vous soutenez et avez impulsé avec Dominique Bodon est un projet de destruction de notre patrimoine! Sur les recours, cette interview évoque une prétendue déroute judiciaire alors qu'aucune décision définitive n'est encore intervenue!

Monsieur Le droit de réponse est réglementé par le décret n°2007-1527 du 24 octobre 2007. Il prévoit dans son article 1er que « La procédure prévue par le présent décret ne peut être engagée lorsque les utilisateurs sont en mesure, du fait de la nature du service de communication au public en ligne, de formuler directement les observations qu'appelle de leur part un message qui les met en cause », ce qui est le cas de La Gazette Locale. Vous avez d’ailleurs utilisé cette possibilité pour répondre à la publication ci-dessus qui, selon son contenu, faisait elle même réponse à un tract…. S’agissant de la publication incriminée, elle est clairement publiée sous la forme de « Communiqué », ce qui signifie à l’évidence qu’elle n’a pas été rédigée par un de nos collaborateurs dans le cadre de sa participation à La Gazette Locale. Il est évident que si vous nous adressez des communiqués, ceux-ci peuvent également être publiés.

En effet par l’arrêté préfectoral, ARRÊTÉ PRÉFECTORAL COMPLEMENTAIRE du 14 septembre 2017 prescrivant à la Société Malaucène Industries SNC pour son ancien site implanté sur le territoire de la commune de Malaucène des servitudes d’utilité publique , un certain nombres de servitudes sont imposées sur le site entre autre l’article .2.3 - Interdiction des cultures ou production végétales. La culture de végétaux en pleine terre à des fins de consommation alimentaire (humaine ou animale) est strictement interdite sur l’ensemble du site.

En effet par l’arrêté préfectoral, ARRÊTÉ PRÉFECTORAL COMPLEMENTAIRE du 14 septembre 2017 prescrivant à la Société Malaucène Industries SNC pour son ancien site implanté sur le territoire de la commune de Malaucène des servitudes d’utilité publique , un certain nombres de servitudes sont imposées sur le site entre autre l’article .2.3 - Interdiction des cultures ou production végétales. La culture de végétaux en pleine terre à des fins de consommation alimentaire (humaine ou animale) est strictement interdite sur l’ensemble du site.

Le coût supporté par les MALAUCENIENS pour la requalification paysagère et architecturale du vallon du Grozeau 600 000€, ce n’est pas rien.

Que des esprits éclairés qui ont toujours les mots de patrimoine à la bouche, viennent reprocher à la commune d'investir dans un projet patrimonial, ça ne manque pas de sel. ça serait plus simple de nous tomber dessus si nous nous contentions d'expédier les affaires courantes, quoi que, c'est moins fatiguant, moins risqué et c'est peut être la conception de l'action publique de certains. Que M. Mazas, élu de Suzette, qui a ce titre était vice président de la COVE et qui a usé de cette position pour mener sa petite croisade à Malaucène, vienne faire la leçon sur la confusion des genres, c'est fort de café. Notre point presse était une réponse à un tract public dans lequel vous aviez librement exprimé votre point de vue. Que des élus issus de listes différentes, qui ne partagent pas les mêmes convictions politiques, aient décidé d'unir leurs volontés pour travailler ensemble à un projet d'intérêt général plutôt que de s'affronter, ça visiblement, ça dépasse le seuil de tolérance de certains. Bon, j'ai du boulot.

Les différents points de vue ayant largement eu le temps de s'exprimer, les commentaires sont fermés.
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