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DES VOEUX, DES PROJETS MAIS AUSSI DES MISES AU POINT

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Avancement

DES VOEUX, DES PROJETS MAIS AUSSI DES MISES AU POINT

Malaucène
01 février 2019 - 10:35
5 commentaires

Samedi 26 janvier, Dominique Bodon, maire de Malaucène a présenté ses vœux devant une salle comble, en présence, entre autres, du sénateur Alain Dufaut, de la conseillère régionale et première adjointe Bénédicte Martin, du président de la Cove Guy Rey, du maire de Beaumont du Ventoux, du père Wieslaw Ukleja, curé du secteur paroissial de Malaucène et de Anthony Zilio, président de la communauté de communes Rhône, Lez, Provence.

Après la présentation d’un film sur la vie et les réalisations du village en 2018, préparé par Pierre Gac, Dominique Bodon a évoqué la future maison de santé au rez-de-chaussée de l’ancien ehpad du Centenaire avec dans les étages un foyer logement, et présenté le nouveau médecin, Laetitia Tovena, remplaçante le docteur Michel Reynaud parti à la retraite, installée cours des Isnards dans ancien cabinet dentaire Peyret.

Côté travaux, le maire a rappelé que les travaux actuellement en cours à la médiathèque vont permettre de passer celle-ci de 84 m² à 240 m² sur trois niveaux pour un coût de 198 000 €.

Puis il a tenu à faire quelques mises au point sur des rumeurs infondées concernant la fermeture de la poste. Certes, sa fermeture est prévue, mais pas le 18 mai 2019 comme l’affirment certains.

Après que le maire ait rencontré les instances nationales, Philippe Wahl, président-directeur général du groupe la Poste, et locales, il est prévu que lorsque La Poste fermera, il sera créé une agence postale qui se situera dans la petite salle du rez-de-chaussée de la mairie où il y aura aussi le bureau d’accueil des services municipaux.

Deuxième mise au point : certains font l’amalgame entre le vallon du Groseau et les papeteries… Le réaménagement et la mise en valeur du vallon du Groseau ont d’ores et déjà commencé avec la reconstruction d’un mur en pierres sèches sur le chemin des Gipières, la première tranche des travaux de restauration de la chapelle du Groseau,classée en 1853, débuteront à l’automne prochain pour un coût de 589 000 €, une vigne jouxtant la chapelle sera plantée comme l’avait fait le pape Clément V. L’aménagement d’un théâtre de verdure aux anciennes plâtrières, la protection par un grillage du captage de la source du Groseau et de la source St Martin qui n’empêchera pas les gens de venir chercher de l’eau à la source sont prévus.

Concernant le projet d’aménagement touristique sur le site des papeteries, la signature d’une convention sera signée prochainement, et ce malgré les procès d’intention et pétition signée par des gens n’ayant pour certains jamais mis les pieds à Malaucène et pour lesquels le maire déclarait : « Les bobos, parigots, intellos, qu’ils restent où ils sont »…

D’autre part, le maire expliquait, pour les travaux d’enfouissement des réseaux électriques dans le vieux village, que si cela n’était toujours pas fait c’était en raison du choix du syndicat d’électrification qui a préféré privilégier l’installation des bornes électriques…

Puis, Bénédicte Martin, adjointe aux finances, annonçait que la commune avait reçu en 2018 des subventions de l’État, la Région, la Cove et le Département pour un montant de 1 221 000 € représentant 33 % de subventions sur le montant hors taxes des principales opérations d’investissement de la commune.

Pour terminer cette cérémonie, tous ont été invités à partager un apéritif dînatoire très apprécié.

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There are 5 Comments

« Les bobos, parigots, intellos, qu’ils restent où ils sont » Mais à Malaucène les Belges eux sont les bienvenus ! Pourtant Mr le maire les parigots font eux aussi vivre le village.

Bienvenue aux belges, hollandais, suisses, anglais, allemands, américains ... qui s’intègrent en respectant notre culture et apportent leur bonne humeur, leur convivialité et leur amour de notre pays. Un exemple à suivre pour les autres...

tout a fait d'accord avec vous .les étrangers de différente nationalité s'intègrent aussi bien que certains banlieusards d'ile de France que le manque de reconnaissance rend souvent grotesques

Ces trois points de suspension ne sentent pas bon. Que sous-entendez vous avec "les autres" ? Il y auraient deux genres d'étrangers, ceux qui ont droit aux honneurs et "les autres" ? Décidément vos propos ne sentent pas bon Mouchenotte !

c'est l'odeur de la république en marche vers la médiocrité; ça sent la peste brune celle la même qui mutile des gamins de parfois 14 ans tous les samedis
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