Une quinzaine de questions étaient à l’ordre du jour du conseil municipal de mardi. Il a surtout été question d’immobilier, et d’aménagement.

Don d’un camping

Les élus ont accepté le don fait par l’association du centre de loisirs « camping Cegelec » de son terrain et de ses installations, situés au Palis. L’association a cessé exploitation du camping en 2024, et souhaitait se dissoudre. La surface de terrain est de deux hectares. Il comporte un logement de gardien, des chambres, des locaux techniques, deux piscines, un hangar de 180 m², des mobil homes… Interrogé par Sophie Rigaut, le maire, Jean-François Périlhou, a expliqué qu’il était trop tôt pour avoir pu faire des projets, mais qu’il ne fallait pas laisser passer la proposition.

1.3 millions pour la « halle ses sports »

Le projet d’un nouveau bâtiment, pour les sports de raquette et les sports collectifs, une « halle multisports », est lancé. Le coût prévisionnel est de 1 356 000 € HT. Une subvention de 500 000 euros est demandée à l’État. Sophie Rigaut a demandé au maire de solliciter aussi le Département et la Région. Réponse affirmative du maire.

2.2 millions pour le château

Pour les travaux sur le château, d’un montant prévu de 2 230 000 € TTC, le maire, au cours d’un échange avec Sophie Rigaut sur les décisions municipales, a expliqué ne pas pouvoir donner de date pour les travaux, en raison de la complexité des formalités et du nombre d’administrations intervenant sur les dossiers de travaux sur les monuments historiques.

Achats et ventes de terrains

La commune achète un terrain de 1021 m² riverain de l’école Zola pour 215 000 €, qui « permettrait à la commune de proposer des places de stationnement ». Elle prend en charge la voirie des lotissements « Les Helviens » et « le Montbrunois », et vends à l’association Atir un terrain de 1 403 m², situé près du stade, pour 70 000. L’association y construira un centre de dialyse. Selon le maire, le permis de construire sera déposé à la fin du semestre.

Recrutements

60 recrutements ont été décidés par les élus pour faire face à des accroissements temporaires ou saisonniers d’activités.

Mayotte

Une subvention de 1 500 € sera versée à l’État « pour les sinistrés de Mayotte ». S’y ajouteront 500 € du CCAS.