Sur l’ensemble de la ville, quatre agents de voiries et cinq jardiniers au savoir-faire reconnu (3e fleur) travaillent tout au long de l’année pour assurer l’entretien et le fleurissement de la ville. Ce sont eux qui, rue du Maquis, ont procédé à l’installation de nouvelles balconnières avec un terreau spécifique, des billes qui captent l’eau, garnies de bégonias et de diverses essences qui supportent la sécheresse, afin de réaliser des économies d’eau.

Ce fut l’occasion pour Jean-François Périlhou de rappeler qu’avec les fleurs d’été, on lance la saison haute, avec un agenda culturel, festif, touristique de qualité et que la ville est belle et s’adapte, en remerciant l’ensemble des équipes et les partenaires. « Nous planterons moins cette année, car nous anticipons le risque de restriction d’eau imposé par la préfecture et nous sommes dans une logique de rigueur par rapport à nos ressources en eau. La transition avec de nouvelles essences nous permettra de diminuer notre consommation d’eau » a indiqué le maire. « Il aura fallu 10 ans pour reconquérir le centre-ville, avec un déploiement de fleurs et la réhabilitation des rues, qui contribuent au dynamisme et à la qualité de vie de notre ville », a-t-il poursuivi, confirmant cette reconquête avec la réfection prochaine de la Grand’rue, de l’avenue Jules Ferry dans sa partie commerçante, et de la rue Bernard Noël.