Mathieu des Longchamps est né à Montréal d’un père guitariste flamenco et harpiste et d’une mère chanteuse folk. Il a passé ses premières années au Panama. Il disait : « J’ai commencé la harpe à 7 ans, les percussions classiques au conservatoire et j’ai découvert la guitare électrique à 15 ans, grâce à un copain qui jouait du Nirvana au collège. »

Il se produit dans « Vivo en Panama », une chanson du disque et un film réalisé par Mathieu, qui accompagnera la sortie de l’album.

Conçu entre Paris, Milan et le Panama, c’est un disque au soleil sépia, aux sentiments mêlés, à l’élégance insoumise. « Ce disque, c’est un voyage entre l’enfance et la vie d’adulte, entre l’hiver européen et le soleil des Caraïbes ».

De jolies mélodies libres, sans frontière ni gimmicks. Il se dégage de ses mélodies comme un apaisement, c’est une invitation au détachement, à la contemplation, au lâcher-prise. Et si le passé est une figure récurrente dans ses compositions, l’horizon est aussi souvent là, avec ses possibles et ses couleurs mouvantes. Des arrangements gorgés d’espace, qui respirent pleinement, des strates délicates, des cordes, des basses, des petits stratagèmes sonores pour convoquer les songes de celui qui écoute. Vivo en Panama, oui, est un passeport pour l’ailleurs.

Tarifs : 12 €, réduit 6 €, Pass Famille 30 €, Visa Culture 3 €