BOLLÈNE – TRAFIC DE VÉHICULES : DEUX INCARCÉRATIONS

Les gendarmes, associés à la police municipale, informés d’une transaction concernant un véhicule volé, ont mis en place un dispositif discret sur un parking de Bollène. L’information était bonne. À leur arrivée, les faux vendeurs ont été appréhendés. Ils ont reconnu être à l’origine d’un trafic qui couvre toute la France. Ils achetaient la voiture et la payaient avec un faux chèque. Ils la revendaient ensuite en usurpant l’identité d’une société connue.

AVIGNON – RODÉOS

Les habitants de certains quartiers d’Avignon n’en peuvent plus des rodéos motocyclistes sous leurs fenêtres, et le confinement aggrave les choses. Hier policiers nationaux et municipaux ont participé à une opération de contrôle, sans grands résultats. Un conducteur a été verbalisé pour plaques illisibles, et quelques autres pour infraction au confinement. Les habitants attendent la pluie pour être au calme…

CAVAILLON – 800 M² DE BÂTIMENTDÉTRUITS PAR LE FEU.

Hier, un bâtiment de 800 m² a été détruit par un incendie, malgré l’intervention d’une quarantaine de pompiers. La structure de plus de 8 000 m² abrite plusieurs entreprises, dont une de conditionnement de fruits. Le feu a pris dans le stockage d’emballages. Une partie de la toiture s’est effondrée et une façade fissurée menace ruine. Une enquête sera lancée quand les lieux seront accessibles.

VILLENEUVE LES AVIGNON — POIGNARDÉ DANS SON SOMMEIL PAR SON FILS

Dans la nuit de mercredi à jeudi, un homme de 75 ans a été poignardé dans son sommeil par son fils de 40 ans. Il a été blessé à la tête et au dos. L’alerte a été donnée par une autre personne sur place. La victime a été hospitalisée par les pompiers. Ses jours ne sont pas en danger. L’auteur des coups de couteau, connu pour des troubles psychiatriques, a été interné d’office.

LOURMARIN : VIOLENCES INTRA FAMILIALES : PRISON FERME

Après un signalement par une habitante du village, les gendarmes sont intervenus dans une famille de Lourmarin. Ils ont été reçus par Philippe, 45 ans, veilleur de nuit, très alcoolisé. Il tenait depuis des années sa famille sous emprise, étant insultant et violent : claques, coups avec des objets… De mal-être, une des filles se scarifiait.

Devant le tribunal, l’épouse, tremblante et en pleurs, a eu du mal à s’exprimer. Une des filles se scarifiait. Le père a nié pendant sa garde à vue, avant d’accuser l’alcool devant le tribunal. Il a affirmé regretter et s’excuser, tandis que la mère affirmait qu’il avait « pourri » sa vie et celle des enfants. Il a été condamné à deux ans de prison, dont un avec sursis, et arrêté à l’audience.