Dans sa quinzaine de pages, le Fifrelin d’avril, sous le titre « Il n’y a que Michel-Paris-Mailles qui m’aille ! », raconte l’histoire de cette petite entreprise qui partit avec succès à la conquête de la mode mondiale sous la bannière de la Maison Saint-Laurent.

On trouve aussi dans ces pages un portrait d’Albert Dupont, inspiré par Abdel Noufel, une interrogation pertinente de Jean-Charles Raufast, qui se demande si « le temps qui passe améliore ou dégrade le monde », une évocation des Bordympiades, festivités loufoques des années 1965 à 1975, et la traditionnelle photo de groupe.