BIENTÔT UNE USINE CHIMIQUE À VAISON ?

Durée de lecture
2 minutes
Avancement

BIENTÔT UNE USINE CHIMIQUE À VAISON ?

Vaison-la-Romaine
02 avril 2024 - 07:16
2 commentaires

Maud Zarella, chimiste. Photo IA

Bientôt une usine chimique à Vaison ? C’est la question qui peut se poser après une importante découverte réalisée par une chimiste locale.

Maud Zarella, scientifique discrète, vient de mettre au point un produit promis à un bel avenir.

Après des études scientifiques, Maud Zarella a décidé de quitter la multinationale où elle dirigeait un important laboratoire de recherche sur la chimie pour travailler sur des sujets qui lui tenaient à cœur, les diluants.

Elle est venue s’installer dans les environs de Vaison-la-Romaine, dans un ancien mas à l’écart, où elle travaille en indépendante pour des multinationales qui font appel à ses services sur des sujets pointus, ce qui lui permet de continuer aussi ses travaux personnels.

C’est ainsi qu’elle a découvert un nouveau produit appelé à révolutionner beaucoup de choses. Elle accepte d’en parler « un peu », maintenant que la production industrielle est en vue.

« Ce nouveau produit est un super diluant, auquel rien ne résiste », dit-elle. Sans s’étendre sur la formule ni surtout sur ses ingrédients, elle révèle que ce super diluant, qui reste à baptiser, a été testé dans de multiples situations. La grande industrie comme la Défense Nationale s’y sont intéressés de près, avant de financer discrètement la mise au point définitive.

« En résumé, ça dilue tout », affirme Maud Zarella. Elle présente, pour appuyer son affirmation, des verres dont il manque le fond, des morceaux d’acier comme coupés au chalumeau, une poêle Téfal percée…

La scientifique énumère : « Une société pétrolière dont je ne dirais rien a testé avec succès pour des forages dans de la roche dure, sur près de 800 mètres. Les Armées en ont jeté un seau sur un char dont la tourelle s’est affaissée sur elle-même et le canon ramolli s’est plié au sol comme un spaghetti trop cuit. Heureusement que c’était un vieux char… Dans l’industrie, des tests ont vérifié que ce produit permet de faire des trous sans échauffer ni la pièce ni l’outil, donc sans altérer leurs propriétés… »

Cerise sur le gâteau, ce produit se décompose au soleil sans laisser de résidus toxiques ou dangereux, mais juste une poussière composée du matériau dissous, qui peut être récupéré

Les finances sont trouvées pour monter une usine que les pouvoirs publics veulent voir rapidement sortir de terre, et qu’elle ne veut pas loin de chez elle. À Vaison peut-être ? En tous cas tout près, on le lui a garanti.

Malgré cette réussite éclatante, Maud Zarella reste modeste. Interrogée sur son avenir, elle répond « J’ai encore beaucoup de projets. Maintenant, je vais travailler pour trouver un matériau pour fabriquer des récipients qui pourront contenir mon super diluant ».

There are 2 Comments

Comment reconnaître un poisson d’avril ? Il est censé faire rire, tout simplement. Dans cet article, un indice de fausse nouvelle: la photo est signée IA abréviation d’ intelligence artificielle. Méfiez-vous !

M et Mme Zarella , les parents de Maud, nous demandent de préciser que leur fille n’est pas originaire de Bufflonne (Italie).
X