Dans l’écrin de la cathédrale Notre-Dame de l’Assomption, les pièces sculptées de David et Galbiati ne peuvent laisser indifférent. Visages, bustes, mains, l’œuvre « nous emporte dans des espaces où règne une gravité silencieuse ». Dans cette exposition l’artiste a voulu « tailler dans le fruit de la chair afin d’atteindre le pur noyau de l’indicible ».

Telle cette série de mains « visages sans yeux et sans voix, mais qui voient et qui parlent ».

Vernissage vendredi 9 septembre à 18 h

À voir jusqu’au 30 septembre.