LES NOUVEAUX VAISONNAIS REÇUS AU MUSÉE
Les nouveaux Vaisonnais ont été reçus vendredi soir au musée.
En 2019, la réception des nouveaux Vaisonnais n’avait pu avoir lieu pour des raisons sanitaires. Ils ont donc été invités avec ceux arrivés cette année. La réception a eu lieu au musée Thé Desplan. Le maire, Jean-François Périlhou, a prononcé un long, mais très intéressant discours, écouté avec attention, retraçant pour les arrivants l’histoire de la ville, des Voconces, un peuple installé sous la falaise du château, à la ville contemporaine et ses charmes. Au passage, il a annoncé l’ouverture au public du château comtal en 2022, et des manifestations importantes en 2024 pour les 100 ans de l’ajout de « la-Romaine » au nom de la ville.
Environ 90 personnes ont participé à la réception. Le maire était accompagné de plusieurs élus, dont Sophie Rigaut, conseillère départementale.
Les invités ont ensuite eu droit à une présentation du musée, suivie d’une visite guidée rapide. Faute d’apéritif possible, chacun a reçu un petit olivier.
LE PLUS JEUNE NOUVEAU VAISONNAIS A CINQ MOIS
Le plus jeune des nouveaux Vaisonnais présents à la réception était Nathan, cinq mois. Il est resté très sage dans son couffin pendant toute la durée de la réception. Ses parents sont venus à Vaison après sa naissance
Son papa, Gérard, est directeur comptable. Il habitait à côté de Narbonne, et l’arrivée de son fils l’a convaincu de revenir à Vaison, où il avait déjà travaillé cinq ans de 2001 à 2005 et avait fait construire une maison. « Nous avons ici plus de commodités, plus d’espaces, plus d’activités et de manifestation culturelles, et de services pour les enfants et la scolarité », dit-il pour expliquer son choix. Il est en télétravail et se rend de temps en temps à Narbonne. Il fait « beaucoup de sport ».
Catherine, la maman de Nathan, est infirmière libérale. Elle ne connaissait pas Vaison, mais apprécie « beaucoup le petit musée », les possibilités culturelles et les nombreuses festivités et associations. Violoniste, elle se félicite aussi de l’existence de l’école de musique, qu’elle baptise « conservatoire » par habitude.
Tous les deux apprécient les paysages et ne regrettent pas leur choix : « tout est très beau, le Ventoux, les Dentelles… ».