L’assemblée générale de l’Association des Parents d’Élèves de la cité scolaire (APEV) s’est tenue jeudi soir dans la grande salle de l’espace culturel. Une trentaine de mamans et un papa ont participé à la réunion.

La présidente de l’association, Stéphanie Do, a incité les parents à se mobiliser pour participer aux instances de la vie scolaire. Une formation-information sur le fonctionnement de l’institution et leur rôle leur sera dispensée.

Dès la mi-novembre, l’APEV va reprendre les « midis des métiers », une heure où un professionnel vient parler de son activité et répondre aux questions des élèves. Cette année, ces réunions seront ouvertes aux aussi aux élèves de troisième. Stéphanie Do lance un appel aux professionnels, que l’association serait heureuse de voir venir promouvoir leur métier, et recherche notamment des personnes pour présenter les professions suivantes :

• ingénieur,
• architecte, géomètre,
• éditeur,
• métiers dans le domaine de la publicité, du design, de la communication,
• métiers dans le domaine de l’art (restaurateur, conservateur....),
• métiers de l’artisanat (secteur bâtiment, maintenance, numérique, métiers de bouche, paysagiste),
• métiers du vin,
• hôtellerie-restauration.

(Se plaindre du manque de main-d’œuvre est facile, faire connaître son métier aussi. Question de choix. NDLR)

Seront aussi reprises les actions menées l’année dernière, reconduites. Figurent donc dans les projets de cette année scolaire le renouvellement des « cafés dys », ou les parents d’enfants qui souffrent de troubles spécifiques des apprentissages (qui concernent 5 à 7 % des enfants scolarisés selon l’Inserm), peuvent rencontrer des professionnels et échanger.

La conférence mémoire, qui sera renouvelée, est destinée à permettre aux élèves participants d’utiliser plus efficacement leur mémoire.

La formation à la gestion du stress pour les élèves qui préparent des examens sera continuée.

Est envisagée aussi une sensibilisation aux réseaux sociaux. « Il y a un peu de harcèlement dans l’établissement », constate la présidente.

Parmi les informations sur les établissements figurent une classe supplémentaire de seconde et des craintes sur la pérennité des sorties scolaires.