QUATRE CHICANES AVENUE BLANC
Des chicanes destinées à ralentir la circulation sont installées avenue Alexandre Blanc.
Depuis quelques jours, des chicanes sont en place sur l’avenue Alexandre Blanc, entre l’entrée sur la rocade et le croisement de l’avenue avec le chemin de Théos. Elles sont quatre et ne laissent qu’une voie disponible. La priorité est aux véhicules qui se dirigent vers le centre-ville, venant de la rocade. La première chicane est située juste après la sortie de l’espace Théos en venant de la rocade.
Le but, selon de site Internet de la Ville, est de réduire la vitesse « des véhicules qui quittent la Rocade et/ou qui arrivent à proximité de l’entrée de l’Espace Théos. Un bilan sera fait au sortir de l’été, notamment avec les riverains de l’avenue ».
L’auteur de cet article, de son côté, qui habite sur l’avenue, mais près du Pont Neuf, et n’est pas concerné par ce qui suit, est partisan, c’est connu, il l’a déjà dit publiquement en réunion, de transformer la portion de l’avenue Blanc entre le chemin de Théos et la rocade en impasse, en fermant l’accès entre l’avenue et la rocade (en laissant un passage pour les cyclistes).
Les avantages de cette solution lui semblent nombreux :
- Elle entraîne un trafic, sur la portion concernée, limité aux riverains et à la desserte de l’espace Théos, avec donc plus de sécurité pour ceux qui s’y rendent ;
- Elle dégage un espace de stationnement à la place des aménagements du carrefour actuel avec la rocade ;
- Le croisement pour quitter la rocade par le chemin de Théos étant à angle droit, la vitesses en est forcément limitée ;
- Elle est peu coûteuse. Il suffit de fermer le passage rocade/avenue, et de déplacer les poteaux de signalisation vers l’intersection chemin de Théos/rocade, ce qui peut se faire sans même les modifier.
Le trafic serait reporté sur le chemin de Théos, une voie assez large pour l’absorber (au moins aussi large que l’avenue Blanc, six mètres chacune, en mesurant sur Google Earth).
Évidemment, ce n’est qu’une opinion personnelle, reste à savoir ce qu’en pensent les riverains, premiers concernés…
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