Le réchauffement climatique est un problème majeur pour l'humanité tout entière.

Il résulte des émissions mondiales de gaz à effet de serre notamment produites par la consommation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) qui ne cessent d'augmenter.

Conséquence de ce phénomène, les calottes glacières fondent, la montée des océans s’accélère, les catastrophes climatiques se font de plus en plus intenses et fréquentes, les écosystèmes sont menacés et le nombre croissant des réfugiés climatiques pourrait être à l'origine de nouveaux conflits.

Une augmentation de la température moyenne terrestre de deux degrés aurait des conséquences irréversibles. Seule une diminution de 45 % des émissions de gaz à effet de serre à l'horizon 2030 permettrait d'éviter une telle catastrophe.

Les principaux pollueurs, Chine, États-Unis et Inde, gros consommateurs d’énergies fossiles doivent donc impérativement comme d'autres revoir leur politique énergétique.

Selon le conférencier, seules les énergies renouvelables (hydroélectricité, éolienne, photovoltaïque, biomasse et géothermie) sont à même d'apporter une solution acceptable, l'énergie nucléaire, bien que non-émettrice, restant un sujet sensible.

L'espoir repose également sur de nouvelles technologies : Piles à combustible, stockage électrique, et peut-être un jour fusion nucléaire (ITER) ?

Cette conférence a naturellement suscité de nombreuses questions auxquelles François Lucas a bien voulu répondre. Elle a été écoutée par environ 120 personnes.

La prochaine conférence portera sur un sujet dans l’air du temps, en cette période préélectorale. Emji Abou traitera, le 23 janvier, le sujet « Les budgets participatifs, quelle pratique ? ». La conférence aura lieu à 18 heures à l’amphithéâtre de la cité scolaire.

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